Parents, protégez vos enfants

Éléments essentiels

•             Les enfants ne sont pas menacés par le COVID-19. Le taux de mortalité est statistiquement nul.

•             Imposer des produits biologiques expérimentaux à des enfants n’est pas justifié sur le plan médical ou éthique. Malgré cela, de nombreux gouvernements ont déclaré leur intention d’injecter ces produits à des enfants dès l’âge de cinq ans.

•             On dit aux enfants qu’ils peuvent consentir à ces injections à l’insu et sans le consentement de leurs parents. Permettre aux enfants de prendre des décisions qui peuvent changer leur vie est contraire à l’éthique, illogique et probablement criminel.

•             Ces produits ne sont pas des “immunisations” ou des “vaccinations” car ils ne protègent pas contre les infections ou la transmission. Leur seul avantage supposé est de réduire les symptômes. Cela fait de ces produits un “traitement” plutôt qu’un “vaccin”. Faire référence à ces produits comme à un “vaccin” est frauduleux.

•             Les écoles ne sont pas des lieux sûrs pour nos enfants. De plus en plus de rapports font état d’enfants victimes d’intimidation, humiliés et contraints à prendre ces produits biologiques.

•             Ces produits biologiques COVID ont le pire bilan de sécurité de l’histoire des vaccins. Les effets indésirables signalés comprennent des convulsions, des paralysies, des cécités, des accidents vasculaires cérébraux, des caillots sanguins et des accidents cardiaques aigus.

•             Les fabricants de produits biologiques COVID-19 ont demandé et obtenu une exemption de toute responsabilité pour les effets indésirables causés par leurs produits. Si le risque est suffisamment important pour que les fabricants anticipent une perte économique s’ils sont tenus responsables des dommages et des décès, on ne doit pas s’attendre à ce que les jeunes prennent le même risque pour leur santé.

•             Faire courir à des enfants le risque de subir des lésions permanentes, de devenir stériles, d’être infertiles ou de mourir est un crime contre l’humanité.

•             Les parents doivent protéger leurs enfants contre l’injection de ces produits biologiques expérimentaux.

Synthèse des préoccupations

Les gouvernements ont déclaré leur intention d’injecter à tous les humains de la planète des produits biologiques expérimentaux COVID, sans tenir compte des risques. Cette insouciance à l’égard du risque est évidente avec la récente décision de commercialiser les produits COVID-19 pour les enfants âgés de 5 à 11 ans.

Les preuves scientifiques sont claires : les enfants ne sont pas exposés au COVID-19 et ne sont pas non plus des transmetteurs de la maladie. L’analyse risque-bénéfice confirme que le risque lié à ces produits biologiques injectés dépasse largement tout bénéfice.

Les gouvernements ont apporté des modifications à des protocoles de gestion des risques établis de longue date. Le gouvernement de la Colombie-Britannique a récemment supprimé l’obligation de consulter un gestionnaire de programme ou un consultant en gestion des risques pour obtenir le consentement d’enfants âgés de 12 ans ou moins.  

Agir en supposant que des enfants aussi jeunes que cinq ans pourraient être capables de donner un consentement éclairé à ces produits biologiques COVID est imprudent, contraire à l’éthique et abusif.

Préoccupations majeures

1. Tous les produits biologiques de COVID-19 sont expérimentaux.

Les produits biologiques COVID-19 ont été mis à disposition dans le cadre d’une “ordonnance provisoire” pour un usage d’urgence uniquement.   Ces injections utilisent une nouvelle technologie de vecteurs viraux d’ARNm et d’ADN. Cette technologie n’a pas reçu d’approbation réglementaire complète pour une utilisation chez l’homme. Cette technologie est encore considérée comme expérimentale. Les traitements commercialisés sous le nom de “vaccins” COVID-19 sont en phase III des essais cliniques jusqu’en 2022/2023, et sont donc considérés comme une expérience médicale. Les personnes qui prennent ces produits biologiques sont des participants à des essais cliniques sur des humains.

Les données sur la sécurité à court terme sont limitées. Il est impossible de déduire la sécurité à long terme sur la base d’informations aussi limitées. Le potentiel d’effets tardifs, tels que le développement de maladies auto-immunes, de cancers, de troubles neurologiques et d’infertilité, est très important pour les enfants et les jeunes qui ont toute leur vie devant eux. Ces potentialités doivent être pleinement évaluées avant d’aller de l’avant.

“Les incertitudes scientifiques exigent que l’administration des vaccins COVID-19, en particulier aux enfants, aux adolescents et aux jeunes adultes en âge de procréer, ne soit même pas envisagée tant que des études scientifiques appropriées, axées sur la sécurité, la pharmacocinétique et la biodistribution des vaccins et de la protéine Spike codée par le vaccin, n’auront pas été menées.” 

Les arguments contre les vaccins obligatoires – Canadian COVID Care Alliance

2. Le risque de COVID-19 chez les enfants est effectivement nul.

Le taux de survie global des enfants diagnostiqués avec le COVID-19 est de 99,99996%.    On ne peut pas s’attendre à ce qu’un produit biologique expérimental soit plus sûr qu’une maladie dont le taux de survie est effectivement de cent pour cent.

Avec des effets indésirables graves reconnus (par exemple, myocardite et péricardite), et d’autres effets indésirables suspectés, les enfants sont confrontés à des risques plus élevés avec ces produits biologiques qu’avec la maladie elle-même.

Compte tenu du manque de données sur la sécurité, de l’incertitude quant aux avantages et des risques connus pour la santé, il est inconcevable qu’un enfant puisse donner un consentement éclairé. Malgré cela, les gouvernements débutent l’inscription des enfants âgés de 5 à 11 ans.

3. Les injections COVID ne préviennent pas l’infection ou la transmission.

Selon l’article « Un résumé des motifs de décision de Santé Canada », mis à jour le 20 mai 2021, les essais cliniques n’ont pas prouvé que les produits biologiques COVID-19 empêchent l’infection ou la transmission.

Le résumé indique également que Moderna et Pfizer ont identifié six domaines d’informations manquantes (données cliniques limitées/inexistantes) : utilisation dans les populations pédiatriques (de 0 à 18 ans) ; utilisation chez les femmes enceintes et allaitantes ; sécurité à long terme ; efficacité à long terme, y compris dans un contexte réel ; sécurité et immunogénicité chez les sujets immunodéprimés ; et administration concomitante de vaccins non-COVID.

Il n’y a aucun avantage pour la santé de la communauté à recevoir ces produits biologiques et aucune raison rationnelle d’insister sur ces produits pour “protéger les autres”. Toute affirmation selon laquelle la grand-mère est protégée par son petit-enfant prenant ces injections est fausse.

4. Immunité naturelle vs. immunité injectée

Dans les populations qui présentent un risque minimal de complications graves de la maladie, comme les enfants et les jeunes, un individu est mieux protégé par l’immunité naturelle qui est complète et durable.  Même si un bénéfice est induit par un produit biologique, l’effet est temporaire et ne fournit pas le spectre complet de la protection immunitaire disponible avec l’exposition naturelle. C’est l’immunité naturellement acquise qui profite à la communauté en contribuant à l’immunité “du groupe”.

Il existe des traitements sûrs et efficaces et des mesures prophylactiques/préventives contre le COVID-19, qui favorisent la réponse immunitaire naturelle. L’existence de traitements efficaces rend inutile le recours à un “vaccin”.   Plus de 79 pays permettent l’accès à ces traitements. Ce n’est pas le cas au Canada où nos gouvernements provinciaux et fédéral refusent aux Canadiens l’accès à ces traitements qui sauvent des vies.   Des Canadiens ont subi des préjudices ou sont morts à cause des agissements de nos gouvernements et des autorités sanitaires qui empêchent le traitement précoce et la prévention du COVID-19.

5. Risques liés aux vaccins

On craint fortement que les “vaccins” COVID-19 n’aggravent la maladie en raison de l’augmentation des anticorps dépendants (ADE). L’ADE a été observé dans les essais sur les animaux lors de précédentes tentatives de développement de vaccins ARNm contre les coronavirus.   L’ADE pourrait expliquer le taux croissant de cas chez les “vaccinés”.

Les bases de données de signalements aux États-Unis (VAERS), en Europe (Eudravigilance) et au Royaume-Uni (MHRA Yellow Card System), ont documenté des centaines de milliers de maladies et de décès liés aux vaccins depuis le lancement du “vaccin” COVID-19 en décembre 2020.

Il y a maintenant “plus que suffisamment de preuves … pour déclarer que les vaccins COVID-19 ne sont pas sûrs pour une utilisation chez l’homme”.

– Dr Tess Lawrie – Conseil en médecine factuelle

Les effets indésirables signalés comprennent des convulsions, des paralysies, des cécités, des accidents vasculaires cérébraux, des caillots sanguins et des accidents cardiaques aigus. Des effets mettant la vie en danger, tels que des caillots sanguins et des myocardites, ont été signalés chez des jeunes. Les produits biologiques COVID-19 ont le pire bilan de fiabilité de l’histoire de la vaccination.

Les scientifiques ont soulevé de multiples inquiétudes concernant les effets indésirables à court et à long terme de la protéine Spike, un agent pathogène reconnu. On ignore quelle quantité de protéine Spike est produite par les injections et pendant combien de temps.  Il est plausible que des personnes plus jeunes et en meilleure santé produisent des quantités plus importantes, ce qui pourrait augmenter le risque d’effets secondaires négatifs.

Un nombre croissant de cas de myocardite est signalé aux autorités sanitaires, en particulier chez les adolescents et les jeunes adultes, après les injections de mRNA Covid-19. Ce phénomène est particulièrement répandu chez les jeunes hommes. Les hôpitaux pour enfants du Canada ont récemment mis en place des équipes pédiatriques de traitement des accidents vasculaires cérébraux pour faire face à l’incidence croissante de ces accidents chez les enfants et les adolescents.

“Contrairement aux autres médicaments, les vaccins sont administrés à des personnes en bonne santé.

Nous devrions donc être beaucoup moins tolérants à l’égard du risque. Nous devons être particulièrement attentifs aux risques encourus par les enfants au sujet desquels il n’existe pratiquement aucune information pertinente en matière de sécurité.

Les enfants, après tout, ne courent pratiquement aucun risque de contracter la maladie [COVID] et donc tout risque du vaccin est inacceptable.” 

– Robert F. Kennedy Jr. – Défense de la santé des enfants

Les myocardites consécutives aux injections contre le COVID-19 sont 30 à 200 fois supérieures au risque normal, comme l’a montré une récente présentation par le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisations (ACIP) du CDC américain. La myocardite comporte un risque à long terme d’insuffisance cardiaque. Elle nécessite également une limitation de l’exercice physique à vie, et la prise de médicaments pendant plusieurs mois après la guérison.

À la suite de témoignages d’experts médicaux, d’avocats et de scientifiques, le tribunal rabbinique a rendu le décret suivant le 26 octobre 2021 : “Il est absolument interdit d’administrer, ou même de promouvoir, cette injection à des enfants, des adolescents, des jeunes hommes ou des femmes ; c’est une obligation explicite de protester contre ce mandat, et toute personne qui peut empêcher que l’injection soit imposée à nos jeunes doit le faire, sans détour et avec insistance.” 

La sécurité de ce traitement biologique expérimental aurait dû faire l’objet d’une étude approfondie avant son injection massive, et plus particulièrement son utilisation chez les enfants.

6. Absence de surveillance indépendante

La mise en œuvre du programme d’injections biologiques contre le COVID-19 est en totale incohérence avec le principe de la médecine fondée sur les preuves, la référence absolue des bonnes pratiques cliniques. 
Contrairement à la pratique médicale établie, les recommandations pour l’utilisation de ces traitements biologiques n’ont été basées que sur des analyses de données provisoires provenant d’essais cliniques sur son innocuités incomplets, plutôt que sur des publications scientifiques évaluées par des pairs.

Les essais en cours pour établir l’efficacité et la sécurité des injections contre le COVID-19 ne sont pas menés par des équipes de recherche indépendantes. Au lieu de cela, les essais sont menés par les entreprises pharmaceutiques qui tirent un bénéfice financier de la vente de leurs produits. Il s’agit d’un risque moral direct.

Les données brutes des essais ne sont pas disponibles pour un examen public et indépendant. Les analyses et les affirmations provisoires sont communiquées par communiqués de presse et présentées au public comme des certitudes médicales. Les agences de santé publique et l’industrie des vaccins sont responsables de publicité mensongère, de fraude, de malfaisance et de manque d’intégrité scientifique. Les médias diffusent des informations qui n’ont pas été vérifiées de manière indépendante.

Ces enjeux exigent une approche prudente de l’administration d’injections contre le COVID-19 à des personnes jeunes et en bonne santé.

“Nous vous écrivons à nouveau pour vous implorer de vous opposer à l’autorisation des produits contre le COVID pour nos enfants et nos jeunes. Une telle autorisation est susceptible d’entraîner un désastre de santé publique, pour les années à venir, et d’une ampleur difficile à anticiper.” 

– Une lettre ouverte au premier ministre de l’Ontario Doug Ford – Canadian COVID Care Alliance

7. Les aspects du consentement éclairé

Le Code de Nuremberg, dont le Canada est signataire, stipule que le consentement volontaire et éclairé est essentiel avant de procéder à des expériences médicales sur des êtres humains. 

Les personnes concernées doivent avoir la capacité juridique de donner leur consentement, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, de surenchère ou de toute autre motif caché de contrainte ou de coercition ; et doivent avoir une connaissance et une compréhension suffisantes à ce sujet pour leur permettre de prendre une décision compréhensible et éclairée.

Cela exige que la personne soit informée de la nature, de la durée et du but de l’expérience, de la méthode et des moyens par lesquels elle sera menée, de tous les inconvénients et dangers auxquels on peut raisonnablement s’attendre, et des effets sur sa santé ou sa personne qui pourraient résulter de sa participation à l’expérience.

Rien n’indique que les sujets de cette expérience humaine reçoivent les informations requises sur le plan légal et éthique. Au contraire, les participants sont contraints de prendre part à cette expérience par le recours à la force, à la fraude, à la tromperie, à la contrainte, à la surenchère ou à toute autre forme de contrainte ou de coercition ultérieurement, telle que la perte des moyens de subsistance. Une telle contrainte est illégale, immorale et criminelle.

8. La responsabilité parentale de prendre des décisions médicales pour leurs enfants

La politique de santé publique actuelle permet à des enfants de cinq ans seulement de recevoir ce produit expérimental à l’insu de leurs parents et sans leur consentement. Cela porte atteinte aux droits des parents et à leur responsabilité de prendre des décisions médicales pour leurs enfants. Ces politiques entravent la capacité des parents à protéger leurs enfants contre la mainmise du gouvernement et des entreprises et contre les dispositions réglementaires.

Il est irresponsable, prédateur et criminel de contraindre des enfants de 12 ans et moins à prendre des décisions importantes susceptibles de modifier leur vie et d’avoir de graves répercussions médicales à long terme. Les enfants sont incapables de prendre une décision éclairée en raison de la complexité du sujet. Ces décisions et responsabilités doivent incomber aux parents.

Conclusion

•             Il n’y a aucune justification médicale ou éthique à exposer des enfants à ces injections biologiques expérimentales.

•             Les enfants ne sont pas exposés au risque de COVID, ne sont pas des transmetteurs, et le taux de mortalité chez les enfants est statistiquement nul.

•             Les gouvernements ont agi de manière frauduleuse et doivent immédiatement cesser et abandonner l’injection de ces produits biologiques expérimentaux chez les enfants.

•             Les parents doivent se lever et protéger leurs enfants contre la fraude, la coercition, la tromperie et la malfaisance du gouvernement.

https://advocacybc.blogspot.com/2021/09/changes-to-mature-minor-consent-in-bc.html https://www.canada.ca/en/health-canada/services/drugs-health-products/covid19-industry/drugs-vaccines-treatments/authorization/list-drugs.html

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728?term=NCT04368728&draw=2&rank=1
https://www.canadiancovidcarealliance.org/wp-content/uploads/2021/09/The-Case-Against-Mandatory-Vaccines-20210922-final.pdf
https://online.anyflip.com/inblw/ufbs/mobile/index.html?s=08%20
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https://brownstone.org/articles/79-research-studies-affirm-naturally-acquired-immunity-to-covid-19-documented-linked-and-quoted/
https://americasfrontlinedoctors.org/2/wp-content/uploads/2021/06/607708ef0ff74c66195482ec_IVERMECTIN-FINAL-FINAL-1-15-12-WITH-TABLES-FIGURES-compressed.pdf
https://cpsa.ca/wp-content/uploads/2021/10/Ivermectin_Guidance-for-Physicians.pdf
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https://www.canadiancovidcarealliance.org/wp-content/uploads/2021/11/Letter-to-Premier-Ford.ChildrenYouth21.11.06.pdf
https://media.tghn.org/medialibrary/2011/04/BMJ_No_7070_Volume_313_The_Nuremberg_Code.pdf
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