Cinq raisons de s’inquiéter

Des vaccins pour enfants : sécuritaires ou pas ?

La décision de faire vacciner ou non votre enfant est difficile et complexe et ce que vous déciderez aura des conséquences tout au long de sa vie.

Nous sommes des parents. Nous sommes profondément attachés à la santé et au bien-être de nos enfants et petits-enfants. Nous sommes dans le même camp que vous sur cette question. Nous avons le même objectif : avoir des enfants en bonne santé et qui réussissent. Et comme beaucoup d’entre vous, nous avons cru sans hésiter les autorités médicales quand elles nous ont dit que les vaccins étaient “sûrs et efficaces”.

Pour de nombreux membres de Vaccine Choice Canada, ce que nous croyions sur l’innocuité des vaccins a changé radicalement lorsque l’un de nos proches a subi une grave lésion. En tant que parents, nous avons payé le prix ultime pour n’avoir pas fait de recherches préalables sur notre décision de vaccination.

Nous sommes ici pour partager, ouvertement et honnêtement, ce que nous savons et pour vous aider à prendre la meilleure décision possible pour vous et votre famille. Nous n’avons aucun intérêt direct concernant ce que vous déciderez. Notre seul souhait est que les blessures et les décès de nos proches n’aient pas été vains.

Ce que nous avons appris

Lorsque nos proches ont été blessés et tués par des vaccins, nous avons fait ce que nous aurions dû faire AVANT qu’ils ne soient vaccinés – nous avons commencé à nous informer sur les vaccins. Ce que nous avons appris nous a alarmés et nous oblige à partager l’information avec d’autres. Certaines personnes nous accusent de diffuser des “informations erronées” ; nous appelons cela des “informations manquées”.

Au cours des 40 dernières années, nous avons passé des milliers d’heures à enquêter sur la science des vaccins. Il est impossible dans ce court article de partager tout ce que nous avons appris et nous aimerions donc nous concentrer sur la sécurité des vaccins. Ce que nous avons découvert, c’est qu’un produit peut être efficace et pourtant ne pas être sûr. Parmi les nombreux exemples de tels produits figurent le DDT, la thalidomide, l’amiante, le glyphosate, l’OxyContin et le Vioxx.

Certes, il est prouvé que les vaccins peuvent prévenir des maladies telles que la rougeole et les oreillons et il est donc compréhensible que les gouvernements et les responsables de la santé publique veuillent promouvoir l’utilisation de ces vaccins. Mais il a également été démontré que les vaccins peuvent être dangereux, comme ils l’ont été pour nos proches et pour beaucoup d’autres personnes. Ce qui nous préoccupe, c’est que les gouvernements et le corps médical ont tendance à simplifier à l’extrême ce qui est une question très complexe. On a tendance à exagérer le risque de la maladie et à sous-estimer le risque des vaccins. Cette simplification excessive et cette allégeance à une idéologie nous mettent tous en danger.

Un exemple de lésion vaccinale

Dans les années 1980, l’un des vaccins qui a causé des dommages importants était le vaccin DTC (diphtérie-coqueluche-tétanos). Bien qu’il ait depuis été retiré du marché nord-américain en raison du nombre de lésions neurologiques qu’il a causées, ce vaccin est toujours utilisé dans les pays du tiers monde. Il est en effet moins coûteux à produire que le vaccin utilisé en Amérique du Nord.

Par conséquent, des enfants continuent à être blessés par ce vaccin. En 2018, une étude portant sur des enfants africains vaccinés par rapport à des enfants non-vaccinés a révélé que les enfants qui avaient reçu le vaccin DTC dans les six premiers mois de leur vie avaient 10 X plus de risques de mourir que les enfants qui n’avaient pas été vaccinés avec le DTC. i 

En mars 2019, l’auteur du rapport, le Dr Aaby, a adressé un reproche cinglant aux agences de santé publique du monde entier pour avoir permis aux entreprises pharmaceutiques de vendre des vaccins dont on sait qu’ils blessent et tuent des enfants. Il a été ignoré.

Le vaccin DTC n’est pas le seul vaccin à avoir été retiré du marché en raison de problèmes de sécurité et d’efficacité. En fait, plus de 32 d’entre eux, dont l’utilisation a déjà été approuvée au Canada, ont été retirés parce qu’ils étaient inefficaces ou dangereux. Pourtant, chacun de ces vaccins était autrefois présenté comme “sûrs et efficaces”.

Nous souhaitons porter à votre attention cinq questions relatives à la sécurité des vaccins :

  1. Les vaccins ne sont pas aussi bien testés que les autres produits médicaux.

La plupart des gens, y compris les représentants du gouvernement et de la santé publique, ne savent pas qu’aucun vaccin pour enfants homologué au Canada n’a fait l’objet des tests de sécurité exigés pour tout autre produit médical. Cela s’explique par le fait que les vaccins sont classés comme des “produits biologiques” et qu’ils sont exemptés des tests d’innocuité longs et rigoureux exigés pour les médicaments.

La principale méthode utilisée par le corps médical pour évaluer l’innocuité des vaccins consiste à surveiller les rapports d'”événements indésirables” après l’homologation et l’utilisation du vaccin. Le Dr Eric Rubin, membre du Comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes aux États-Unis, a été très clair : “Nous n’apprendrons jamais à quel point un vaccin est sûr si nous ne commençons pas à l’administrer”.ii   Cela signifie que nos enfants se voient injecter des produits dont la sécurité ne sera connue que plus tard par le nombre de lésions et de décès qu’ils finiront par causer.

Le fait que les professionnels de la santé ne soient formés pour reconnaître les lésions vaccinales est également préoccupant. Il n’y a pas non plus de responsabilité lorsque ceux-ci ne signalent pas une lésion vaccinale. Lorsque les parents expliquent que leur enfant a présenté des symptômes alarmants après avoir été vacciné, on leur répond systématiquement que ces “événements indésirables” sont normaux ou qu’il s’agit d’une simple “coïncidence” et qu’ils n’ont pas pu être causés par le vaccin.

Une étude menée pour le ministère américain de la santé et des services sociaux a révélé que “moins de 1% des effets indésirables des vaccins sont signalés.” Cela signifie que 99% des effets indésirables des vaccins peuvent ne pas être signalés et donc ne pas être reconnus. iii 

  • Les vaccins ne sont pas évalués par rapport à un placebo neutre

En examinant les données scientifiques sur l’innocuité des vaccins, un parent découvre qu’aucun des vaccins figurant dans le calendrier de vaccination des enfants recommandé par Santé Canada n’a été testé contre un placebo neutre. Une étude contrôlée par placebo est la norme des tests d’innocuité. Sans une telle comparaison, aucune allégation valable ne peut être faite sur l’innocuité ou l’efficacité de l’un de ces vaccins.

Ce fait a été récemment confirmé par l’Informed Consent Action Network, qui a analysé chaque élément de preuve scientifique sur lequel le Department of Health and Human Services des États-Unis s’appuie pour affirmer la sécurité des vaccins. iv  (Ces mêmes preuves constituent, indirectement, la base sur laquelle Santé Canada autorise les vaccins). Cela signifie que nous ne savons pas si un vaccin est sûr et efficace.

  • Les tests préalables à l’homologation sont trop courts pour évaluer l’innocuité à long terme des vaccins

Alors que d’autres produits pharmaceutiques sont testés pendant des années, les vaccins pour enfants ne font l’objet d’une surveillance de l’innocuité que pendant quelques jours, ou tout au plus, quelques semaines avant d’être homologués. C’est-à-dire pendant pas assez de temps pour montrer si un vaccin provoque des troubles auto-immuns, neurologiques ou le développement de l’autisme, les difficultés d’apprentissage, le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité, les allergies potentiellement mortelles, l’asthme et d’autres maladies chroniques. Ces troubles n’apparaîtront qu’une fois que l’enfant aura atteint l’âge de quelques années.

Voici un exemple de comparaison entre le contrôle de la sécurité des vaccins avant leur homologation et celui d’autres produits pharmaceutiques. Prenons le cas du Viagra. Les tests de sécurité du Viagra avant son homologation ont été menés sur une période de 10 ans auprès de milliers de sujets. Un groupe de sujets et un groupe témoin ont été utilisés. Le groupe témoin recevait un placebo inerte (une pilule de sucre) identique à la pilule donnée au groupe sujet. Après 10 ans, les chercheurs ont comparé les données pour déterminer si le produit était à la fois sûr et efficace.

Comparez maintenant cela avec le contrôle préalable à l’homologation des vaccins pour enfants. Les tests de sécurité sont menés sur un petit échantillon, qui peut inclure ou non des nourrissons et des enfants. Il n’y a aucun groupe de contrôle recevant un placebo inerte. Et la surveillance dure aussi peu que 48 heures et pas plus de six semaines.

Voici la durée des examens de sécurité pour divers vaccins homologués au Canada :  v vi 

Hep B (Merck)                                                          ROR

– surveillance active pendant 5 jours                          – surveillance active pendant 42 jours

– n’a inclus que 147 participants                                 – n’a inclus que 342 enfants

DTC                                                                            Hep B (GSK)

– suivi pendant 8 jours                                                 – suivi pendant 4 jours

Polio                                                                            Hib

– suivi pendant 3 jours                                                 – suivi pendant 3 jours

Pneumocoque                                                             Rotavirus

– suivi pendant 7 jours                                                 – suivi pendant 8 jours

Méningocoque                                                            Influenza

– suivi pendant 7 jours                                                 – suivi pendant 4 jours

Santé Canada affirme effectuer “un examen scientifique rigoureux et des tests sur les vaccins afin d’évaluer leur qualité, leur sécurité et leur efficacité avant que leur utilisation ne soit approuvée.” En 2018, Vaccine Choice Canada a contacté le Dr Teresa Tam, médecin en chef du Canada, pour demander des preuves des tests de sécurité des vaccins effectués par Santé Canada. À ce jour, Santé Canada n’a fourni aucune preuve à l’appui de son affirmation selon laquelle des tests scientifiques rigoureux sont effectués “avant que leur utilisation ne soit approuvée.”

  • L’innocuité de l’ensemble du calendrier de vaccination des enfants n’a pas été établie.

Nos responsables de la santé publique affirment que la stimulation artificielle du système immunitaire à l’aide d’ingrédients injectés (la vaccination) est “le moyen le plus sûr, le plus efficace et le meilleur pour protéger nos enfants et nos communautés.” Cependant, il n’existe aucune preuve scientifique solide pour étayer cette affirmation.

Le fait est que nous ne savons pas dans quelle mesure le programme de vaccination actuel est sûr, car il n’y a pas eu suffisamment d’études scientifiques pour le savoir. Ce n’est pas notre opinion, c’est celle de l’Institut de médecine américain (IoM). vii

“Peu d’études ont tenté une évaluation plus globale de la séquence entière des

vaccinations ou des variations dans le calendrier global de vaccination et des catégories de

résultats de santé, et … aucune n’a comparé des populations entièrement non-vaccinées

avec celles entièrement vaccinées pour les résultats sanitaires qui préoccupent les parties prenantes”

En 2011, la Commission a examiné 155 problèmes de santé pouvant être associés aux vaccins contre la varicelle, le tétanos, l’hépatite B et la rougeole, les oreillons et la rubéole. L’IoM a décidé qu’il y avait trop peu d’études scientifiquement solides pour déterminer si les vaccins causent ou non l’un des plus de 100 problèmes graves du cerveau et du système immunitaire, notamment la sclérose en plaques, l’arthrite, le lupus, les accidents vasculaires cérébraux, le SMSN, l’autisme et l’asthme.

En 2012, la collaboration Cochrane est parvenue à la conclusion suivante concernant les tests de sécurité du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole : “La conception et la communication des résultats en matière de sécurité dans les études sur le vaccin ROR, tant avant qu’après la commercialisation, sont largement insuffisantes.” viii

Les notices d’information sur les vaccins fournies par le fabricant indiquent clairement que les vaccins n’ont pas été testés pour leur capacité à :

– provoquer le cancer

– endommager un organisme

– endommager l’information génétique d’une cellule

– modifier l’information génétique d’un organisme

– altérer la fertilité

– provoquer des effets indésirables à long terme

En 1987, le Congrès américain a chargé le ministère de la Santé et des Services sociaux d’améliorer en permanence la sécurité des produits vaccinaux et de rendre compte de leurs progrès tous les deux ans. En 2018, en réponse à une demande de liberté d’information, le ministère a admis qu’il n’avait pas déposé un seul rapport au Congrès sur les améliorations apportées à la sécurité des vaccins.

  • Les fabricants de vaccins bénéficient d’une immunité juridique

Une question que de nombreux parents se posent est la suivante : si les vaccins nuisent aux enfants et aux adultes, les fabricants peuvent-ils être tenus responsables devant un tribunal ? La réponse est non. La raison en est qu’en 1986, le Congrès américain a adopté la loi sur les préjudices causés par les vaccins à l’enfance (NCVI). Cette loi a mis fin au droit des personnes blessées par des vaccins et des parents d’enfants blessés par des vaccins de poursuivre les fabricants de vaccins. Au lieu de cela, les plaintes pour lésions vaccinales sont entendues par un “tribunal des vaccins” spécial et les dommages sont payés par le contribuable plutôt que par le fabricant du vaccin. En d’autres termes, les fabricants de vaccins ne sont pas légalement ou financièrement responsables des dommages et des décès causés par leurs produits.

Bien que le Canada ne dispose pas d’une loi similaire, nos tribunaux ont à plusieurs reprises omis de statuer sur le fait que les personnes doivent être indemnisées en cas de préjudice causé par un vaccin. Le Canada est l’un des deux seuls pays du G20 à ne pas disposer d’un programme fédéral d’indemnisation des lésions vaccinales. En décembre 2020, le gouvernement fédéral a promis un programme d’indemnisation pour les vaccins COVID. Le programme prévu ne permet pas non plus de tenir les fabricants de vaccins responsables.

Les vaccins sont le seul produit, médical ou autre, pour lequel un fabricant n’est pas légalement responsable des blessures et des décès causés par ses produits. Le résultat de cette immunité juridique est que personne n’est tenu responsable lorsque des blessures et des décès surviennent. Nous n’acceptons cette absence de responsabilité pour aucun autre produit. Pourquoi acceptons-nous cette absence de responsabilité pour quelque chose d’aussi important que les vaccins pour enfants ? Et enfin, si les vaccins sont aussi sûrs qu’on le prétend, pourquoi les fabricants de vaccins ont-ils demandé et obtenu une immunité juridique et financière ?

L’une des conséquences de cette immunité juridique est que l’industrie du vaccin n’a aucune incitation juridique ou financière à rendre ses produits plus sûrs, même lorsqu’il est clairement établi que les vaccins peuvent être rendus plus sûrs.

Résumé

La sécurité n’a pas été établie

Ce que l’on découvre en examinant la documentation de recherche sur les vaccins, c’est que la sécurité du programme de vaccination n’a pas été établie. Lorsque les responsables publics déclarent sans réserve que les vaccins sont “sûrs et efficaces”, ils ne sont pas honnêtes quant à l’état des connaissances scientifiques sur la sécurité des vaccins.

Étant donné que les vaccins sont administrés à des enfants en bonne santé, les tests de sécurité devraient être encore plus rigoureux que ceux exigés pour tous les autres produits pharmaceutiques. Or, ce n’est pas le cas. Les tests de sécurité des produits vaccinaux sont moins rigoureux, incomplets, et les protocoles semblent avoir été intentionnellement conçus pour empêcher l’identification des effets indésirables à long terme.

Mesurer la santé, pas la conformité

La mesure de toute politique de santé devrait être la suivante : cette politique améliore-t-elle la santé globale des personnes qui reçoivent le produit ou le traitement ? Depuis des décennies, les défenseurs de la sécurité des vaccins réclament des études comparant les populations vaccinées et non-vaccinées afin de mesurer les résultats globaux en matière de santé. Les institutions de santé publique, y compris Santé Canada, ont refusé de mener de telles études. Nous devrions tous être préoccupés par le fait que l’establishment médical ne soit pas disposé à effectuer les recherches de base nécessaires pour confirmer si les enfants vaccinés sont en meilleure santé que les enfants non-vaccinés.

Ces dernières années, un certain nombre d’études sur les enfants vaccinés par rapport aux enfants non-vaccinés ont été menées par des chercheurs indépendants. Une étude de 2012 a révélé que plus le nombre de vaccins administrés en une seule fois était élevé, plus le nombre d’hospitalisations et de décès était important. ix   Les résultats ont également montré que plus le nourrisson était jeune lorsqu’il était vacciné, plus le taux d’hospitalisations et de décès était élevé.

En 2017, le Journal of Translational Science a publié la première étude indépendante, non financée par l’industrie, comparant la santé globale des enfants de 6 à 12 ans vaccinés et non vaccinés aux États-Unis. x 

L’étude a révélé que si les enfants vaccinés étaient nettement moins susceptibles d’avoir la varicelle ou la coqueluche, ils étaient nettement plus susceptibles de souffrir de pneumonie, d’allergies, d’otite moyenne (infection de l’oreille), d’eczéma, d’un trouble de l’apprentissage, d’un trouble de l’hyperactivité avec déficit de l’attention, d’un trouble du spectre autistique, de troubles du développement neurologique et de maladies chroniques. Actuellement, 54% des enfants américains souffrent d’une maladie chronique. Il en va probablement de même pour les Canadiens.

En 2020, une analyse des effets de la vaccination sur la santé des enfants aux États-Unis a révélé que les “patients pédiatriques non-vaccinés dans cette pratique sont globalement en meilleure santé que les patients vaccinés”. xi

Le fait est qu’il n’existe aucune preuve substantielle que les enfants qui reçoivent le calendrier vaccinal actuel sont en meilleure santé que les enfants qui ne le reçoivent pas.

Preuves scientifiques de qualité contre croyance

Nous reconnaissons qu’il existe une forte croyance dans la vaccination. Nous pensons que la décision de vacciner ou non est trop importante pour être fondée sur des croyances. Edda West, cofondatrice de Vaccine Choice Canada, a déclaré ceci à propos de la croyance en la vaccination :

“Nous savons que les parents qui vaccinent leurs enfants croient sincèrement qu’ils protègent leur enfant contre le danger. Ils croient que les vaccins constituent une sorte d’assurance santé, protégeant leur enfant contre les maladies. Chez Vaccine Choice Canada, nous pensons qu’il est important d’aller au-delà de l’utilisation de la “croyance” comme base de la décision de vaccination et de décider plutôt à partir d’un lieu d’information basé sur des preuves scientifiques de qualité.”

Références

i https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpubh.2018.00079/full

http://vaccinepapers.org/wp-content/uploads/Introduction-of-DTP-and-OPV-Among-Infants-in-an-

Urban-African-Community-A-Natural-Experiment.pdf

ii https://www.bitchute.com/video/UIdCv8Ksi5WT/

iii https://healthit.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-finalreport-

2011.pdf

iv https://icandev.wpengine.com/wp-content/uploads/2019/08/ICAN-Reply.pdf

v https://www.vaccine101.ca/single-post/2018/02/07/Vaccine-Approval-Is-Fast-Tracked—Part-2

vi https://icandev.wpengine.com/wp-content/uploads/2019/08/ICAN-Reply.pdf

vii https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK206940/

viii https://www.cochrane.org/CD004407/ARI_using-combined-vaccine-protection-children-againstmeasles-

mumps-and-rubella

ix Relative trends in hospitalizations and mortality among infants by the number of vaccine doses and age, based on the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), 1990-2010. Goldman GS, Miller NZ (2012). Hum Exp Toxicol 31: 1012-1021.

x http://web.archive.org/web/20170504215400/http://oatext.com/Pilot-comparative-study-on-the-health-of-vaccinated-and-unvaccinated-6-to-12-year-old-U.S.-children.php

xi https://www.mdpi.com/1660-4601/17/22/8674/pdf

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