Octobre 2021
L’ajout des vaccins covid-19 au programme de vaccination actuel des enfants canadiens améliorera-t-elle la santé de ceux-ci ?
Points clés :
– Tyrannie médicale au Canada – Ils viennent injecter des doses de COVID-19 à nos enfants.
– Les tests de sécurité de tous les vaccins pour enfants et des injections de COVID-19 ne répondent pas aux normes.
– Les politiques du gouvernement canadien et de la santé publique ne sont pas légales.
– Injections de COVID-19 – Risque élevé de séquelles ou de décès.
– Le système de santé publique du Canada est complice d’une épidémie catastrophique de maladies chroniques.
– Comment pouvons-nous nous protéger les personnes qui nous sont chères ?
– APPEL À L’ACTION – Les gouvernements doivent cesser immédiatement d’envisager d’autoriser l’injection de ces thérapies géniques expérimentales chez les enfants.
Tyrannie médicale au Canada – Ils viennent injecter à nos enfants des injections de COVID-19
Il est incroyablement difficile de saisir la profondeur de ce qui se cache derrière l’intention déclarée des gouvernements d’injecter à tous les humains de la planète des thérapies géniques expérimentales développées en réponse au COVID-19. Il est encore plus surprenant que des personnes normalement réfléchies se laissent convaincre, ainsi que leurs enfants, de recevoir des injections expérimentales à haut risque. Nous sommes témoins d’un manque global de pensée rationnelle et de prise de décision basée sur des preuves, et d’une participation presque enthousiaste à l’abandon docile de nos droits et libertés inhérents. L’humanité est-elle sous le charme ?
Les mesures de COVID et les injections de COVID-19 (appelées “piqûres de coagulation” par les médecins qui traitent cette séquelle documentée) ont blessé et tué des centaines de milliers de personnes – alors que la “pandémie” de COVID n’a pas entraîné beaucoup plus de décès que les décès survenus ces dernières années. L’illusion que notre gouvernement, la santé publique et le système médical conventionnel ont à cœur nos intérêts a été brisée au-delà de toute réparation. La fraude a été exposée.
Ce mépris insensible du risque et l’attaque barbare contre nos droits et libertés inhérents sont particulièrement évidents dans les récentes annonces du gouvernement visant à rendre les injections expérimentales de COVID-19 disponibles pour les enfants âgés de 5 à 11 ans, ce qui s’ajoutera, bien sûr, à un calendrier de vaccination des enfants déjà très chargé. Selon celui-ci, les enfants canadiens reçoivent 68 ou 70 doses de 16 ou 17 vaccins avant l’âge de 18 ans, selon la province ou le territoire. Si vous avez 35 ans ou plus, vous avez reçu moins de vaccins dans votre vie qu’un bébé d’aujourd’hui âgé de six mois.
Le taux de survie à la COVID-19 pour tous les âges est de ~99,85%. Le taux de survie global des mineurs (moins de 19 ans) avec COVID-19 est de 99,997%. Il a été établi que les enfants ne contribuent pas à la transmission de la maladie COVID.
Malgré cela, les gouvernements acceptent maintenant l’enregistrement des enfants âgés de 5 à 11 ans, apparemment sans tenir compte du risque extrême et de l’absence de profits de ces vaccins, et sans tenir compte du fait que Santé Canada n’a pas encore approuvé le vaccin COVID-19 pour ce groupe d’âge2.
L’approbation de Santé Canada ne signifie pas que ces produits, ou tout autre vaccin soient sûrs, efficaces ou nécessaires. Des essais d’injection de COVID-19 sont en cours sur des bébés de six mois. Cette commercialisation ciblée de nos enfants ajoutera considérablement aux milliards de dollars de profits de l’industrie pharmaceutique qui n’endosse aucune responsabilité.
En vue de l’injection de COVID-19 à des enfants âgés de 5 à 11 ans, les gouvernements ont modifié des exigences de gestion des risques en vigueur depuis longtemps, ce qui augmentera les risques pour les enfants. Par exemple, le gouvernement de la Colombie-Britannique a supprimé l’obligation de consulter un gestionnaire de programme ou un consultant en gestion des risques pour obtenir des directives supplémentaires lorsqu’il s’agit d’obtenir le consentement d’un mineur de 12 ans ou moins. 1La justification donnée est la suivante : ” Ce changement a été effectué pour éliminer tout obstacle perçu par ces enfants jugés capables et souhaitant donner leur consentement en leur propre nom ” (c’est-à-dire le consentement d’un mineur).
Des enfants âgés d’à peine neuf ans sont vaccinés dans le cadre scolaire à l’insu de leurs parents et sans leur consentement. Impliquer que des enfants âgés d’à peine cinq ans puissent être considérés comme capables de donner leur consentement pour recevoir ces produits expérimentaux est inadmissible, irrationnel et totalement contraire à l’éthique.
Soumettre nos enfants à des injections de COVID-19 sur eux-mêmes n’est pas une décision qui repose sur des preuves médicales ou scientifiques. La conformité obligatoire ou forcée aux injections défie les quatre grands principes d’éthique de l’industrie médicale : Autonomie, Bienfaisance, Non-malfaisance, Justice.
Les faits :
1. Les tests de sécurité de tous les vaccins reçus durant l’enfance et des vaccins COVID-19 sont inférieurs aux normes.
Aucun vaccin pour enfants dont l’utilisation est autorisée au Canada, ou aux États-Unis, n’a été testé au moyen d’études à long terme, en double aveugle et contrôlées par placebo, comme c’est le cas pour tous les autres produits pharmaceutiques. Au lieu de cela, l’industrie médicale utilise la surveillance des événements indésirables apparus suite à la vaccination comme principale méthode d’évaluation de la sécurité des produits.
Tous les vaccins, de par leur conception, obligent le système immunitaire à réagir par une inflammation. Celle-ci déclenche ensuite la sécrétion de substances chimiques hautement toxiques par les cellules immunitaires du cerveau (microglie) entraînant un état d’inflammation chronique dans le cerveau, la destruction des synapses conjonctives, des crises et des lésions cérébrales. Source : VaccinePapers.org
Les risques graves connus, spécifiques aux injections expérimentales de COVID-19 comprennent le gonflement du cerveau, la paralysie, les convulsions et les crises d’épilepsie, les accidents vasculaires cérébraux, la narcolepsie, les chocs, les crises cardiaques, les maladies auto-immunes, l’arthrite, les douleurs articulaires, les caillots sanguins, le syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants, le cancer, les lésions neurologiques et la mort. Des effets mettant la vie en danger, tels que des caillots sanguins et des myocardites, ont été signalés spécifiquement chez les jeunes.
2. Les politiques du gouvernement canadien et de la santé publique ne sont pas légales
Les procédures et/ou traitements médicaux sont définis comme étant ceux qui affectent la santé d’une personne, que ce soit physiquement ou psychologiquement. Un traitement sans consentement préalable, exprimé et éclairé est une agression. Le consentement ne peut être implicite.
Ceux qui contraignent ou obligent à se conformer à des procédures médicales, y compris le masquage, la vaccination ou les tests, et qui appliquent des mesures de confinement sont dans l’illégalité et sont passibles de poursuites pénales. Les ordres du gouvernement et de la santé publique violent la Charte des droits et libertés du Canada. Nos droits innés sont protégés par la loi commune, les lois et la Charte des droits et libertés, comme le dicte la Cour suprême du Canada.
3. Injections de COVID-19 – Risque élevé de séquelles ou de décès
Dans le cadre d’une action en justice intentée devant une cour fédérale par America’s Frontline Doctors (les médecins américains en première ligne), une dénonciatrice du gouvernement américain, experte en analyse de données sur les soins de santé et utilisant les données de Medicare et Medicaid, a présenté une déclaration sous serment sous peine de parjure. Elle affirme avoir des preuves incontestables que le nombre réel de décès liés au vaccin COVID dans les 72 heures suivant la vaccination est d’environ 45 000. Comme ce nombre de décès ne provient que d’un (1) seul des douze (12) systèmes de déclaration aux États-Unis, cela se traduit par 540 000 décès s’il est accepté comme une moyenne.
Certaines injections de COVID-19 comportent le risque d’un trouble rare de la coagulation du sang, la “thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin” (TITV). Il est possible et plausible que cette réaction soit un effet causé par les protéines de pointe Spike induites par toutes les injections actuelles de COVID-19. Il existe un risque que ces injections de Covid-19 aggravent la maladie clinique en raison d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), qui a été observé dans les essais sur les animaux lors de tentatives précédentes de développement d’un vaccin ARNm contre le Coronavirus.
Les scientifiques ont soulevé de nombreuses inquiétudes quant aux effets indésirables possibles à court et à long terme, notamment en ce qui concerne la protéine Spike. Les injections de Covid-19 introduisent un gène synthétique qui incite les cellules du receveur à produire des protéines de pointe virales sans qu’il soit possible de savoir si ce processus s’arrêtera un jour. Les protéines Spike semblent contribuer de manière significative à la pathogénicité du SRAS-CoV-2, et certaines études suggèrent qu’elles ont le potentiel de provoquer une pathologie par elles-mêmes.
On ignore totalement quelle quantité de protéines Spike sera produite par un individu et, comme indiqué ci-dessus, pendant combien de temps. Les jeunes personnes en bonne santé peuvent produire des quantités plus importantes, ce qui augmente potentiellement le risque d’effets secondaires.
À la suite des injections de mRNA Covid-19, un nombre croissant de cas de myocardite ont été signalés aux autorités sanitaires, en particulier chez les adolescents et les jeunes adultes de sexe masculin.4
Après les injections de Covid-19, le risque de myocardite semble être de 30 à 200 fois supérieur au risque normal, comme le montre une présentation récente du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) du CDC américain. La myocardite comporte un risque à long terme d’insuffisance cardiaque, et peut également nécessiter une restriction de l’exercice et des médicaments pendant plusieurs mois après la guérison.
4. Le système de santé publique du Canada – complice d’une épidémie catastrophique de maladies chroniques
Le Canada est en grave péril, car il connaît une épidémie de maladies chroniques, surtout chez les enfants. C’est la triste réalité pour plusieurs milliers de familles, une situation bien établie avant la ” pandémie ” de COVID – une pandémie dont la contagion n’a pas été prouvée et qui n’a pas entraîné une augmentation significative du nombre de décès par rapport aux décès des années précédentes.
La santé publique canadienne ne parvient pas à éduquer le public sur les conseils diététiques fiables qui sont au cœur d’une immunité saine contre les complications de la maladie. Le discours officiel du gouvernement et de la santé publique met, à chaque fois, l’accent sur des conseils nutritionnels qui, en fait, nuisent à la santé et dépendent de l’utilisation de produits pharmaceutiques et d’interventions allopathiques, de suppléments synthétiques, de médicaments pharmaceutiques et de vaccins dont il est prouvé qu’ils contiennent des produits chimiques toxiques et une pléthore d’ingrédients nuisibles à la santé, notamment de l’aluminium et d’autres nanoparticules métalliques.3
Ce grand échec de notre gouvernement, de la santé publique et du système médical conventionnel a entraîné une épidémie de maladies chroniques, en particulier chez les enfants. Les deux cadeaux de sagesse d’Hippocrate à l’humanité et aux professionnels de la santé sont les suivants : premièrement, ne pas nuire. Deuxièmement, toute santé commence dans l’intestin. Comment se fait-il que la mort iatrogène dans le système conventionnel soit devenue l’une des principales causes de décès des Canadiens, et comment se fait-il que les conseils médicaux et alimentaires officiels de la santé publique canadienne soient impliqués dans les taux épidémiques sans précédent de cancer, de diabète, d’autisme, d’allergies, d’asthme, d’arthrite, de maladies cardiaques, de déficiences cognitives, d’infections chroniques de l’oreille ou de la poitrine, d’infertilité, etc.
Le nombre d’enfants canadiens tombant dans le spectre de l’autisme était d’environ un enfant sur 10 000 dans les années 1980. De nos jours, le taux actuel est d’environ un enfant sur 36, et ce taux exponentiel devrait concerner 80 % des garçons et la moitié des filles nés dans les années à venir – même sans tenir compte des dommages supplémentaires causés par les nouvelles injections thérapeutiques expérimentales de COVID-19 qui modifient l’ADN/ARN.
“Pour la première fois dans l’histoire… les enfants sont plus malades que la génération qui les a précédés. Ils ne sont pas seulement un peu plus mal en point, ils sont précipitamment plus mal en point sur le plan physique, émotionnel, éducatif et du développement.”
~ Judy Converse, nutritionniste pédiatrique, MPH, RD, LD
“L’argument contre la science est simple : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, peut tout simplement être fausse. La science a pris un virage vers l’obscurité.”
~ Richard Horton, rédacteur en chef, Lancet
5. Comment pouvons-nous protéger les personnes qui nous sont chères ainsi que nous-mêmes ?
Regardez au-delà du récit de la peur propagé par nos gouvernements et la santé publique. Ce livre très apprécié, Dare to Question (Oser questionner), du président du CCV, Ted Kuntz, a beaucoup à dire sur les dangers des vaccins, et il suffit d’y ajouter les périls extrêmes et bien connus des vaccins expérimentaux COVID pour avoir une image honnête des risques de la vaccination des enfants. Notez que tous les bénéfices des ventes de Dare to Question sont reversés à Vaccine Choice Canada. Commandez ici ou téléchargez votre exemplaire gratuit. Consultez cette critique du livre.
Considérez ce chapitre, If Not Vaccines, Then What ? (p. 105) rédigé par Sally Fallon Morell, présidente et cofondatrice de la Weston A Price Foundation et co-auteur de Nourishing Traditions et The Contagion Myth.
Voici un extrait de Dare to Question qui comprend des conseils diététiques fiables de la Weston A. Price Foundation :
La vitamine A est notre première protection contre les maladies. Le système immunitaire ne peut pas fonctionner sans vitamine A. Deux points importants concernant la vitamine A : premièrement, nous ne pouvons pas obtenir une quantité suffisante de vitamine A en transformant les carotènes des fruits et légumes en véritable vitamine A. Deuxièmement, la vitamine A a besoin des vitamines D et K2 comme cofacteurs. Les aliments qui nous apportent de la vitamine A contiennent généralement aussi des vitamines D et K2, comme le beurre de vaches nourries à l’herbe, le jaune d’œuf de poulets élevés en pâturage, le fromage naturel vieilli, les crustacés et les abats comme le foie. En plus de ces aliments, l’huile de foie de morue peut fournir des vitamines A et D sur une base quotidienne.
“Avant l’avènement des vaccinations, le corps médical savait que la vitamine A contenue dans l’huile de foie de morue protégerait les enfants contre toutes sortes d’infections.”
~ Sally Fallon Morell
Lorsque le régime alimentaire est mauvais, la médecine n’est d’aucune utilité. Lorsque le régime alimentaire est correct, la médecine n’est d’aucune utilité.
~ Proverbe ayurvédique
La vaccination n’est pas le seul choix possible pour protéger et améliorer la santé d’un enfant. Parents, engagez-vous à faire autant de recherches sur les risques liés aux vaccins que lorsque vous choisissez tout autre produit susceptible d’avoir un impact sur la sécurité de votre famille. Les mandats et la coercition sont illégaux au Canada – le choix vous appartient.
Prenez position contre les politiques actuelles du gouvernement et de la santé publique qui tentent de supprimer les droits des parents à protéger leurs enfants. Ne permettez pas que la santé et l’avenir de votre enfant soient remis entre les mains du gouvernement, ce qui revient à faire de vos enfants des pupilles de l’État.
Unissez-vous aux autres familles qui veulent vivre une vie de liberté et de bonheur, où les enfants obtiennent leur droit de naissance à une santé radieuse !
Soyez sans crainte pour protéger votre famille.
Tenez-vous fermement dans la NON-CONFORMITÉ UNIE
APPEL À L’ACTION : Les gouvernements doivent immédiatement CESSER ET DÉSISTER toute considération visant à autoriser l’injection de ces thérapies géniques expérimentales chez les enfants.
LE RÉSULTAT : Les enfants non vaccinés sont en bien meilleure santé que ceux à qui on a injecté des ingrédients toxiques dans leur corps.
Autres actions que nous pouvons tous entreprendre pour protéger nos enfants et nos droits et libertés inhérents
Avis de responsabilité
Envoyez des avis de responsabilité à ceux qui établissent ou appliquent des politiques et des mesures de santé publique illégales. Consultez le site Web d’Action4Canada pour obtenir des modèles et des instructions.
Partagez l’information sur les droits et libertés garantis par la Charte et sur les risques liés aux vaccins dans votre communauté.
Consultez la collection de ressources imprimées téléchargeables de Vaccine Choice Canada. Organisez-vous avec vos amis et votre famille partageant les mêmes idées pour vous lever ensemble et distribuer cette information à grande échelle.
Consultez la liste des prochains invités à nos populaires appels Zoom hebdomadaires dans le cadre de l’événement VCC Live.
Consultez les éditions actuelles et récentes du Choice Insider du CCV, publié chaque lundi. Recevez le Choice Insider par courriel en devenant membre du CCV dès aujourd’hui pour seulement 5 $ par an.
Ressources recommandées :
– Nos droits de refus avec Rocco Galati, Tanya Gaw et d’autres – vidéo
– Les droits des employés et le vaccin Covid-19 expliqués par Rocco Galati, Constitutional Rights Centre – vidéo
– Le Dr Tom Cowan, le Dr Andrew Kaufman et Sally Fallon Morell nous mettent au défi de reconsidérer ce que nous pensons savoir sur la santé et la maladie. – vidéo
– Sally Fallon Morell, présidente de la Weston A. Price Foundation, présente Building Natural Immunity – vidéo
– Le vaccin : Une exemption religieuse pour le monde entier, par Jon Rappoport – page web
– Présentation de Joel Sussmann au Conseil de la santé de Toronto – vidéo
– Exposés de position de Vaccine Choice Canada – page web
– Avis de responsabilité d’Action4Canada – page web
– Show Us the Virus – Sars-CoV2 Isolation Court Case, Republic of South Africa – video (en anglais seulement)
– Informations citées fournies par la Canadienne Christine Massey – site web
– Le vaccin : A Religious Exemption for the Whole World, par Jon Rappoport – site web
– Death of Germ Theory with Sacha Stone and Guests (en anglais) – vidéo
– Sally Fallon Morell, présidente de la Weston A. Price Foundation, présente la vidéo Building Natural Immunity et une interview sur le livre The Contagion Myth (en anglais)
– Dr. Andrew Kaufman, Dr. Tom Cowan et Sally Fallon Morell sur VCC Live vidéo
– Covid : Podcast du Dr Tom Cowan et de Sally Fallon Morell
Références:
1. https://advocacybc.blogspot.com/2021/09/changes-to-mature-minor-consent-in-bc.html
2. https://www.timescolonist.com/news/b-c/b-c-opens-vaccination-registration-for-children-ages-five-to-11-1.24363025
3. https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html
4. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/epi/covid-19-myocarditis-pericarditis-vaccines-epi.pdf?sc_lang=en